mardi 28 octobre 2008

Hélàs, cela en dit long

La symbolique m'a frappé.

Au box-office, Le Déserteur au Québec fait de grasses recettes alors qu'au Canada anglais, c'est
Passchendaele qui remporte la palme.



Chez nous, on raconte une histoire d'amour autour d'un type qui a refusé de partir en guerre tandis que dans le ROC, on raconte une histoire d'amour autour d'un type qui a disons l'étoffe d'un héros.

Bizarre, non?

Le modèle québécois à l'oeuvre, sans doute. Quelle merveilleuse époque...

P.S. avant qu'on me plaide que les québécois francophones au grand complet étaient pacifiques et opposés à la conscriptions, lisez cet article.

1 commentaire:

Lisa a dit...

Voilà, Czar, vous voyez trop loin: Ce n'est pas une histoire de guerre ou non, mais bien une histoire de filles, encore.

Les femmes, tout est de leur faute.
"Par elles, avec elles et en elles"... comme dirait l'autre.