Au box-office, Le Déserteur au Québec fait de grasses recettes alors qu'au Canada anglais, c'est
Passchendaele qui remporte la palme.


Chez nous, on raconte une histoire d'amour autour d'un type qui a refusé de partir en guerre tandis que dans le ROC, on raconte une histoire d'amour autour d'un type qui a disons l'étoffe d'un héros.
Bizarre, non?
Le modèle québécois à l'oeuvre, sans doute. Quelle merveilleuse époque...
P.S. avant qu'on me plaide que les québécois francophones au grand complet étaient pacifiques et opposés à la conscriptions, lisez cet article.